Par exemple, pour déplaire à Miss Parki qui me voudrait confiné dans ma maison, je fais les cent pas sympas dans mon terrain boisé, véritable poumon de la rue des pinsons. Où alors, je joue avec mon nez et le fait siffler.
Paradoxe :
Miss Parkinson, on ne peut pas la sentir et pourtant, on ne sent qu'elle. Laissant un peu partout des séquelles, elle sème sa zone et c'est le bordel !
Bref, on l'a dans le nez et en même temps, on peut lui rire au nez, lui faire boire la tasse à cette Miss à la masse !
En passant par le nez, en utilisant un état d'esprit différent, on peut limiter la casse et la crasse. Il faut juste accepter de jouer avec son nouveau-nez intérieur, avec ce nourri-son musicothérapote qui nous épate.
Voici le sifflet nasal :
Atelier Eo - J.P Minchin
On le trouve en Indonésie, les chasseurs l'utilisent pour appeler les singes hurleurs.
Au Brésil, si tu veux voir le Ara, tu poses ton appeau sous le nez et "Ara-cadabra", le voilà.
- Mais, ton appeau de nez, ça doit pas être donné, est-ce que ça coûte l'appeau des fesses ?
- Non, juste quelques euros pour faire beaucoup d'heureux !
- Et est-ce que ça marche avec un verre dans le nez ?
- Ça dépend du verre. S'il est en cristal, cela donnera une jolie sonorité planante.
- Et si le verre est à moitié vide ?
- Il sonnera moins bien !
- Et s'il est à moitié plein ?
- Et bien, tu ne l'aura pas sifflé en vain !
Je suis sûr que tu connais la différence entre un pessimiste et un optimiste.
- Oui, l'optimiste est celui qui a un verre à demi plein dans le nez et ...
- Que nenni ami, tu veux faire le mariole mais tu ne contes que fariboles. Allez, ne reste donc pas si discret, faudra t'il que je te tire les "verres du nez" ?
- Bon voilà !
Le pessimiste dit :
- C'est la cata, tout va "à vélo". Cela ne peux pas aller pire.
- ah ! mais si ! dit l'optimiste.
"Nobody nose".
- Et ta flûte à chant-pagne qui parle du nez aux oiseaux, comment ça marche ?
- La flûte à nez, kèskecé et comment ça fonctionne ?
Voici, voilà.
Pour parler avec les oiseaux, on souffle par les naseaux dans l'appeau.
Le souffle nasal se brise sur le biseau. Une partie de ce souffle va vers la bouche ouverte et offre ainsi le volume d'air nécessaire aux lèvres pour moduler des sons imitant chants d'oiseaux, cris d'animaux .... La bouche sert de caisse de résonance, sa cavité devient un ocarina à volume variable !
Dans cette époque épique opaque où prospèrent cyniques cinoques persifleurs, osons donc être poètes siffleurs, potes des fleurs et des oiseaux chanteurs de toutes les couleurs. Les chanteurs d'oiseaux oublient les douleurs de leur vie.
Ainsi, on laisse le bon temps rouler, la vie est belle et c'est tant mieux !
Allez, bon vent !
Namasté !
On peut aussi surfer sur l'onde sifflotante et enchanter une bien bonne : "God only knows" (de Brian Wilson des "Beach boys").
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