samedi 25 novembre 2017
"Post-it positif"
"Affirmactif" : suite des affirmations positives.
Voici de nouvelles phrases motivantes :
"Je prend soin de mon corps pour faire le plein de vitalité."
Si je me sens vide, livide et si je me plains que ma vie manque de sens et d'chance alors ... je fais le plein des sens, avec du carburant "yoga musicothérapie mon gars, tu t'amuses et t'es ravi".
Je taquine la muse et m'amuse à faire tout le toutim anti-frime, le ramdam anti-drame et le tintouin tsoin-soin qu'il faut pour être juste, simple, clair, calme, à l'aise et balaise !!!
Que la fête des sens commence, que ma vie pétille, vibre, rigole et jubile !!!
Pour éviter la panne ou la peine des sens, c'est juste une question de bon sens, il suffit de se remettre sur la voie de la joie, et alors, comme disait Depardieu (dans "Les valseuses" de Bertrand Blier) :
"On vivra à la fraîche ... tranquille ... décontracté du gland".
Détendu de l'abricot fendu, on ira heureux, on rira et on aura la fesse joyeuse !
Il s'en tire bien celui qui sait bien se sentir ... à l'aise, par contre, celui qui "ne peut pas se sentir", prend le risque de "se sentir mal" !
L'esthète au beau regard sachant s'en mettre plein les mirettes ou s'extasier devant un tableau de Monet, une architecture de Gaudi, un dessin de Moebius, un coucher de soleil d'Andernos, un corps vénusien, est un homme bienheureux qui cultive le goût et l'envie de vivre.
On peut aussi se nettoyer les oreilles et la tête avec des musiques méditatives, minimalistes, répétitives ou simplement "kiffont kiffer" !
Sans oublier la nourriture, qui permet au gourmet déprimé, de reprendre goût à la vie et encore un peu de cet excellent risotto qui rend plus costaud !
L'humain ne changera le monde que par la culture souriante et l'agriculture "résonante" (en harmonie avec la nature), certainement pas par "l'aigri-culture" (qui assombrit nos vies) !
"Je libère mon esprit."
J'en profite pour me décoincer, me débarrasser de la pesanteur sociale : carcan des cancans, boucan concon du dégoûtant "quand dira-t'on" et du rikiki "kicécelui-là ?"
Face au trissotin "souffrir pour ne pas s'ouvrir", proposons-nous plutôt de sourire au "s'ouvrir pour ne pas souffrir".
Voici encore quelques phrases généreuses (et pas gênées d'être heureuses) :
"La vie est un jeu amusant et je désire y participer."
"L'univers pourvoit toujours à mes besoins."
"Je sais me détendre et laisser aller."
"J'aime faire ce qui me permet de me sentir bien."
"Je sais accepter toute la joie et la prospérité que la vie m"offre."
"J'accepte mes sentiments, comme faisant partie de moi-même."
Voilà, que vous soyez Mickey Mahousse ou Niqué Mouise, fichez-vous la paix et souriez-vous !
Namasté !
Dessin des chats et des Shadoks : Geluck et Rouxel !
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