"La mort est un manque de savoir-vivre."
Alphonse Allais
Daisy Pitaf :
- J'en ai encore, je vous en met un peu plus ?
- Pas de problème, surtout que ce sont les nôtres, répond Daisy Derata.
- M'enfin pas toujours, parfois ils sont miens, et les vôtres, il m'arrive de les remanier.Bon, je sens que mes invités épitaphstolaires s'impatientent. Océane, savante, me souffle cette épitaphe pour pétomane marin :
"Pets à ses cendres".- C'est vraiment de mauvais goût ! C'est un coup des pets dans l'eau ! Faites donc, chère Daisy Pitaf, un peu de sélection dans les propositions envoyées par vos visiteurs.
- D'accord, je vais me servir de ma fidèle épée (aux propos si tranchants), j'ai nommé "Excalembour".
- Je pressens le pire, le genre "C'est pas l'homme qui prend la mer ...Ta,ta,ta".
- Taratata ! Erratum ! Daisy Dérata c'est raté. Nous nous en allerons (de requin) à nouveau vers la mer et la musique, mais sans Renaud, voici :
"A LA MI RE MI - LA SOL LA MI LA !"- Excellent ! Excès de soles, et on se retrouve en sous-SOL, dans une boite de naze (sans jazz), commente Daizy Gillespie. Armée, non pas d'Excalembour, mais d'un instrument tout aussi sacré et puissant, une trompette, l'espiègle Gillespie renchérit :
"RE MI FA SOL LA SI DO RE , dans son DO MI SI LA DO RE chUTe sur le SOL SI RE. Le LA SI LA MI LA !"- Bravo ! Je vois que le be-bop fait pulser l'esprit. Autant la "note" est salée, autant le Lassi (délicieuse boisson hindoue) est sucré.
- Voici un haïku :
"Puis la mer se briseCe mini poème japonais me parle. Un jour, nageant dans l'océan (plage landaise), j'ai été à deux doigts de dire :
à l'ombre des sémaphores,
sur des rochers pâles."
"Puis l'homère d'alors se brisa,
sur des rochers pâles,
mais fût sauvé ce jour-là,
parce qu'il s'aimât fort."
- Cherie Pitaff, je vous fait remarquer que votre personne naze qui nage, ressemble plus à Homer Simpson qu'à l'antique Homère.
- Ce n'est pas faux chère Daisy Des ratés. C'est parce que je me suis fait moi-même et que je n'ai pas tout réussi (le côté Homère d'alors, côtoie parfois mon ego nigaud). C'est mon côté court, c'est pour lui que je pratique le Yoga. Il l'étire, l'allonge et le grandit.
- Votre côté raccourci, rétréci mérite cette épitaphe ci :
"Ci-gît poète, entré sans sonnet."- Redonnons la parole à nos invités. Et l'ami Dupain nous envoie cette épitaphe :
"LA MI LA MI LA."Pour un musicien étouffé par une bouchée de pain. MerSI LA MI, celle-ci aussi est pour moi. En effet, parfois en période"nez pris, gorge sensible", Miss Parkinson cherche à m'étouffer. Par sa mauvaise conduite, elle réduit mes conduits oesophagiens. Le tuyau rétréci me stresse et il se trouve toujours un morceau de pain qui vient squatter ma gorge. Après ça impossible de déglutir. Heureusement, l'esprit Yogi me sauve de l'étouffement et du ridicule. Voilà, il est temps de conclure :
"Je me suis enfin décédé."
Ou, comme le chante si bien Jean-Louis Aubert :
Un jour, "l'âme hors" est partie prendre l'air, l'air de rien avec le vent d'ouest et son petit ami, le poète Garcia Lorca :
"Que tous sachent que je ne suis pas mort ; Je suis le petit ami du vent d'ouest."Réponse au dernier commentaire de Pascale : Ça c'est de l'épitaphe de qualité. "Muchas Garcias" (Ooops! un fort coup de vent a malencontreusement déplacé la lettre R).
Commentaires :
- Euh ! Moi j'trouve que la vidéo du haut, elle te fait perdre la boule. Trop délire ce "flipper" qui fait flipper.
"Flipper le dauphin"
- C'est trop de la balle ! Et une extra-balle pour le blogueur blagueur.
"Stupéflip"
Allez, bande de gamins, à la prochaine petite partie gratuite !
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