samedi 2 juillet 2022

"Musicothéravie"

L'homme et la cithare" :
Pourquoi viens tu me voir cithare ?
C'est l'histoire d'un homme droit et sincère, chercheur de vérité première, de bonheur et de lumière. Il va voir un maitre soufi.
Ils discutent autour d'un thé la menthe. Le chef spirituel lui explique comment trouver tout ça !
- C'est facile à trouver mais c'est difficile d'accès. Tu ne peux pas te tromper. Mais c'est loin d'ici.
La route est longue, le maitre avait raison; on passe par des endroits délicats, des cols difficiles. Traversant un village, son coeur lui dit "c'est ici !"
Effectivement, il n'y a pas grand monde mais on trouve quand même, en ce lieu, trois échoppes. Dans l'une, on ne vend que des rouleaux de fil de fer !
Dans une autre, on vend des morceaux de bois et dans la troisième, des pièces de métal.
L'homme est fort déçu.
Il quitte le village "désapointé".
Il décide d'aller se coucher.
C'est à ce moment là, alors qu'il se dirige vers un lit de mousse, qu'il entend une musique envoûtante.
Cette mélodie sacrée profondemment ancrée dans le concret, offre à entendre un concert déconcertant joué par des anges, dans une grotte les anges passent et se placent là oû il faut afin de créer de bonnes harmonies et de bonnes vibrations. 
Et notre chercheur à l'oreille titillée par un instrument à cordes, où en est-il ?
L'instrument magique, il veut le voir, le palper, le sentir, il se laisse volontiers guider !
Il découvre que l'instrument est une cithare faite de morceaux de bois, de pièces de métal et de fil de "faire", bref tout ce qu'il a vu dans les magasins du hameau !
(Conte soufi réécrit)
Il comprend ainsi que le bonheur est fait de la synthèse de tout ce qui lui a été donné de travailler dans sa vie.





Bonjour !
Privet (prononcé "Priviète") Moscou !
Direction le foyer du Conservatoire de musique.
Dovisdanya !
Au revoir !

Claire Oppert est élève au Conservatoire de Moscou.
"Octobre 1989 ...
.... Nous dormons en manteau, car les carreaux des fenêtres sont brisés par endroits et, malgré les kilos de coton dont nous essayons de bourrer les trous des doubles-fenêtres, le froid de l'hiver russe reste mordant."
Le "pansement récompense", Schubert berce et pense ça plait, sa douce mélopée efface ses pensées, penser à s'appeler et à s'épauler !
Ce remède aide à s'endormir. Certaines molécules sont en joie : Sérotonine; endorphines et dopamines dansent à tout va.
Le musicien impro-vise et ne rate pas sa cible !
"Mon cri de peur devant la mort s'est lâché dans une mer de sons-amis .... Ouh là là .... Je n'ai pas pu me retenir !"
Que devient Buten ?
"Sa compagne pose délicatement suur ses genoux le bébé violon de son spectacle .....
La dernière apparition de Buffo date de Janvier 2011.
Howard jubile !
la maladie neurodégènérative qui le ronge depuis quelques années a laissé intact le noyau de son coeur."






"Pourquoi le fou a t-il jeté sa montre par la fenetre ?
Parce qu'il voulait voir les minutes s'envoler !"
Howard Butten
"Madame Müller fond en larmes devant l'adagio d'Albinioni que je lui joue au violoncelle.
Encore l'adagio svp !
Et je joue encore et encore.
Merci pour les sons-amis qui me font tellement de bien."

Bluffant Buffo rigolo qui vole haut,
Howard Buten, le farceur effaceur de peines !
Il sait parler autiste et
Buffo l'altruiste aux tristes !

Ce livre est :
Fort, formidouble, épatant...
Il faut le lire à petites doses car il est bouleversifiant, car il est "tout chant" !
Rempli de poésie (à chaque page sous différentes formes), il redresse et grandit.

Allez, bon vent !
Yamasté !

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