lundi 25 décembre 2017

"La vie duraille : se mettre au courant"


Se laisser porter par le courant !
Après l'ondée lacrymale "hey Jo, bye bye !", revoilà l'onde branchée, autrement nommée "Champs magnétiques pulsés" (suite de l'article "L'onde de choc").
- C'est ce courant pulsé qui peut t'aider à mieux vivre avec la Miss R Parkinson'hyène ...
- Et pour les douleurs qui peuvent parfois, nous en faire voir de toutes les couleurs ...
- Il paraît que c'est sa vertu la plus pertinente.
La polyarthrite ainsi traitée transforme la vie du type "poli à la retraite", résultat : il peut enfin cultiver son jardin.
La fibromyalgique change de logique : elle profite et "vibre au MI magique" (Le MI est une note, une note est une vibration, une fréquence, bref une onde).
Dans la boite à ondes pulsées, on trouve moults programmes fréquentiels, pour soulager ceci ou cela :
Fréquences de un à dix : analgésique et relaxant.
De dix à quinze : anti-inflammatoire et parkinson ...
La magnéto thérapie peut contribuer à une diminution sensible des symptômes liés au Parkinson en traitant la dépression comme la rigidité musculaire, l'akinésie (lenteur et initialisation des mouvements) et le freezing (blocage). Son effet apaisant permet de lutter contre tous ces handicaps et d'atténuer les tremblements.



"Nuque brique"
- Et il te fait quoi ce courant pulsé ?
- Il me débarrasse de ce qui m'encombre.
Cela me rassure, je me sens plus léger et plus mobile.
Je peux enfin voir la toile d'araignée qui pend au plafond à son point culminant (six mètres) de notre maison bio-climatique où rêvent les arbres agréables tels que le Douglas ou le Cèdre du Liban.
Depuis un bon moment déjà, j'avais la nuque raide, bétonnée.
Après la première utilisation de la boite à ondes pulsées, j'ai ressenti un mieux-être, ma nuque de plomb retrouvait son élasticité, elle n'était plus sous l'emprise du joug pesant imposé par l'infernale Lucie (fer) Parkinson.
- Ah, la nuque ! il paraît qu'elle se moque de nous, nous fout l'bazar et se régale de tout ce mic-mac !
- "Toutafé", ami lettré, au niveau nationalité, la nuque nous fait la nique. Le mot nuque vient de l'arabe savant "nuqa" qui ...
...  "désignait la moelle épinière ... La nuque est donc sortie du dos pour s'installer derrière le cou.

- Et à Montélimar, on vous fait marcher avec les nougats et on prend son pied ...
- Et si on prend ses jambes à son cou, alors on se régale à toute allure (à l'halva vite).
- Cessons ces sottises et revenons à Frédéric Pages ("Au vrai chic anatomique") :
"La nuque est une partie souffrante ou douloureuse. C'est là que le géant Atlas supporte le globe terrestre: en guise de remerciement une des vertèbres cervicales s'appelle l'Atlas. Il se trouve que l'Atlas est le nom d'une chaîne de montagnes (en Afrique du Nord), tout comme la nuque est un chaînon de vertèbres."

- J'entrave que dalle, pour moi, tout ça, c'est que du chinois !
- Alors partons en "échine" et voyageons avec les mots.
Avant, la nuque française s'appelait chignon. Le mot vient de chaînon et d'échine. Pour échine, on voit bien le rapport avec le dos. Pour chaînon, non !
Pour Littré, il s'agit d'un chaînon montagneux. Et il est vrai que les vertèbres cervicales, très pointues, culminent au massif de l'Atlas !
Te voilà au courant, ami curieux. Je te souhaite bon vent !
Namasté !!

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